Après l'effort, le réconfort...
L'aventure du col du Comte avait laissé des traces (chez moi aussi, mais un boyau, on le change). Mes compagnons de route utilisaient des pneus à tige et devaient donc chercher où la chambre à air était perforée pour y appliquer une rustine, ce qui eut lieu au petit restaurant où nous avions choisi de déjeûner, devant des verres de pastis comme il se doit en Provence.
Pâques 1965.
Diapositive scannée.
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