never again
je ne désirais plus rien, sinon un refuge pour mes petits. Ici, je peux encore les serrer contre mon coeur, caresser leurs boucles brunes. Mais pour combien de temps encore ? Ils sont si faibles. Demain, nous prenons le train. Beaucoup, parmi nous, croient que ce camp est l'enfer. Je crains qu'il ne soit que la porte de l'enfer ! Demain, nous prendrons le train ! Il doit bien y avoir un pays où les gens aux creux des lits font des rêves ...
Eva GD 04/11/2014 21:21
Plus jamais, non plus jamais ça ... espérons le de toute notre âme, de tout notre coeur ...Bel hommage !
Joëlle Millet 28/10/2014 19:12
Poignant et terrifiant .à ne pas regarder si u dois être impressionné , juste écouter ce chant que je chantais enfant .
http://chorale-lamalvent-85.e-monsite.com/blog/infos/le-chant-des-marais.html
SYLDERO 22/10/2014 15:49
TERRIFIANT!Arthure 21/10/2014 21:18
Ce travail est important. Contre l'oubli.Herzliche Grüße
Arthur
Coquitte 21/10/2014 15:57
Impresionante alegato. Se pudo transmitir ese rechazo desde las entrañas a ese horror. Muy buen trabajo.Ben-ito 21/10/2014 13:48
Douloureux pour les anciens mais aussi pour les jeunesBen
Christian Villain 21/10/2014 12:56
Poignante illustration d'un texte particulièrement émouvant . La composition suffit à dénoncer cette folie .Un Grand Bravo !!!!!!!! Amitiés .