En plein air
J'ai déjà évoqué quelque part notre encadrement, composé de vétérans d'Indochine et d'Algérie, des personnes de terrain davantage férues de sacs de couchage que de lits au carré. Il s'ensuivit que nous avons somme toute très peu vécu à la caserne de Vannes. Cela faisait parfaitement mon affaire, mais il faut reconnaître que pour certains, doués par le hasard génétique de capacités physiques plus limitées, ce pouvait être dur, et parfois même très dur.
Photo du printemps 1968.
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